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ien, et qu’il ne pouvait pas en assumer l’entière
responsabilité
devant Dieu et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la fin de sa vie qu’
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ieu, seul dans l’immensité de son effort et de sa
responsabilité
: c’est là l’héroïsme chrétien… » Kierkegaard ajoute aussitôt : « … e
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n’est rien que la fuite de chaque homme devant la
responsabilité
de son acte. « Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de main
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quelques notations de ce genre : « Grande sera ma
responsabilité
si je rejette une mission de cette sorte » — c’est-à-dire s’il rejett