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l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son
traité
de la Maladie mortelle 40, il venait justement de dépasser cette illu
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en ». 33. Apprentissage du christianisme. 34.
Traité
du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 35. Isaïe, XXI, 11. 36. Lorsque
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amour. 40. Traduction française sous le titre de
Traité
du désespoir. C’est une laïcisation. Kierkegaard se rapportait de la
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« inhumain » parce qu’il attribue tout à Dieu.
Traité
du serf arbitre À la proposition qu’on lui faisait en 1537 d’édit
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d à un pamphlet, encore que le volume matériel du
Traité
soit bien écrasant pour le genre. Mais on s’aperçoit sans tarder que
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hèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas
traités
en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système, au sens philoso
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vres morales. Que trouveront-ils dès lors dans ce
Traité
? Une verdeur polémique qui peut flatter en nous le goût du pittoresq
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e jargon d’aujourd’hui), tout est fait dans notre
Traité
pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui qui ne partage p
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on par un simple rappel de l’ordre dans lequel ce
Traité
fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d
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ation purement biblique qu’on en trouvera dans le
Traité
du serf arbitre, malgré quelques détails exégétiques discutables, suf
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62. Le paradoxe qui faisait le sujet du court
traité
de libertate christiana (1520) exprime la dialectique non plus de l’i
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tout le monde ». L’édition française de ce petit
traité
, traduit par l’abbé Christiani, porte à cet endroit une note savoureu
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opprime si méticuleusement, tous ces articles du
traité
qui nous accusent, toutes ces règles du jeu politique inventées par d