1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
1 l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la Maladie mortelle 40, il venait justement de dépasser cette illu
2 en ». 33. Apprentissage du christianisme. 34. Traité du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 35. Isaïe, XXI, 11. 36. Lorsque
3 amour. 40. Traduction française sous le titre de Traité du désespoir. C’est une laïcisation. Kierkegaard se rapportait de la
2 1944, Les Personnes du drame. II. Liberté et fatum — 5. Luther et la liberté de la personne
4 « inhumain » parce qu’il attribue tout à Dieu. Traité du serf arbitre À la proposition qu’on lui faisait en 1537 d’édit
5 d à un pamphlet, encore que le volume matériel du Traité soit bien écrasant pour le genre. Mais on s’aperçoit sans tarder que
6 hèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas traités en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système, au sens philoso
7 vres morales. Que trouveront-ils dès lors dans ce Traité  ? Une verdeur polémique qui peut flatter en nous le goût du pittoresq
8 e jargon d’aujourd’hui), tout est fait dans notre Traité pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui qui ne partage p
9 on par un simple rappel de l’ordre dans lequel ce Traité fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d
10 ation purement biblique qu’on en trouvera dans le Traité du serf arbitre, malgré quelques détails exégétiques discutables, suf
11 62. Le paradoxe qui faisait le sujet du court traité de libertate christiana (1520) exprime la dialectique non plus de l’i
12 tout le monde ». L’édition française de ce petit traité , traduit par l’abbé Christiani, porte à cet endroit une note savoureu
3 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
13 opprime si méticuleusement, tous ces articles du traité qui nous accusent, toutes ces règles du jeu politique inventées par d