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ne fleur unique, puis meurent : aussitôt. Mais il
préfère
élaguer quelques branches, ramener à sa loi toutes ses puissances, c’
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istent plutôt sur autre chose. On dirait qu’elles
préfèrent
conserver leurs fidèles… Mais la question se pose : qu’est-ce alors q
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min. Mais nous avons refusé l’éternel et nous lui
préférons
nos vies : c’est pourquoi nous vivons dans l’histoire, et dans l’abse
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re question. Nous ne croyons pas à l’Esprit, nous
préférons
ne pas scandaliser ; nous croyons réellement à l’Opinion publique. No
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ais, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes
préfèrent
« mourir imperceptiblement » comme disait Nietzsche, et c’est là ce q
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prévu, mais accompli. C. M. — Si c’était vrai, je
préférerais
encore nier ce Dieu qui prétend voir plus loin que le terme de mes ac
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a gardé sans doute une propension fondamentale à
préférer
à la lettre du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quo
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che. Et peut-être d’abord une certaine bonté, qui
préfère
se montrer rébarbative. (Elle est aussi, je crois, cette bonté nature
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tal de toute passion, le mouvement d’un amour qui
préfère
le néant aux limitations de la vie, — la joie devant la mort de Trist