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e l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du
goût
des uniformes, du jeu des soldats de plomb, et de l’usage quotidien d
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populaires, font de la mort une plaisanterie d’un
goût
sublime qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée
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e coutumes, et toutes les différences qui font le
goût
de la vie s’évanouiraient sous vos beaux yeux… Rassurez-vous. Je n’ap
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s’avouer. J’insiste sur ces derniers mots. Notre
goût
de la guerre est si bien refoulé que tous, sans exception, jurent qu’
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audra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier son
goût
de la guerre ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vid
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ez que j’ai exagéré. Vous pensez que j’ai cédé au
goût
américain de la sensation, du biggest in the world. Et de vrai, c’est
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e la manière soudaine et dramatique qu’un certain
goût
de l’antithèse m’incline parfois à souhaiter. La tragédie n’aura pas