1 1946, Lettres sur la bombe atomique. II. La guerre est morte
1 e l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goût des uniformes, du jeu des soldats de plomb, et de l’usage quotidien d
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV. Utopies
2 populaires, font de la mort une plaisanterie d’un goût sublime qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. XV. L’État-nation
3 e coutumes, et toutes les différences qui font le goût de la vie s’évanouiraient sous vos beaux yeux… Rassurez-vous. Je n’ap
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVI. Le goût de la guerre
4 XVILe goût de la guerre Princeton (N. J.), le 19 décembre 1945. Enfin ! Après
5 s’avouer. J’insiste sur ces derniers mots. Notre goût de la guerre est si bien refoulé que tous, sans exception, jurent qu’
6 audra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier son goût de la guerre ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vid
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII. La paix ou la mort
7 ez que j’ai exagéré. Vous pensez que j’ai cédé au goût américain de la sensation, du biggest in the world. Et de vrai, c’est
8 e la manière soudaine et dramatique qu’un certain goût de l’antithèse m’incline parfois à souhaiter. La tragédie n’aura pas