1 1946, Lettres sur la bombe atomique. III . Le point de vue moral
1 liers. — Que fallait-il donc faire à votre avis ? Détruire la bombe ? Feindre que les recherches avaient échoué ? Courir le risq
2 ieusement, n’ose opiner qu’il était préférable de détruire la Bombe et tout le Manhattan Project. C’est peut-être humiliant, mai
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV . Utopies
3 pplanté par le catapultage stratosphérique. Paris détruit de New York en deux heures, de Berne, de Bruxelles ou de Londres, en
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. V . Ni secret, ni défense
4 s Russes ripostent sur Détroit et Saint-Louis, et détruisent Londres par simple mesure de précaution. Et ainsi de suite : dans le
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI . Le savant et le général
5 s et des munitions de leur pays, plus qu’à moitié détruit . Ils verront que la guerre n’a plus de sens humain. D’ailleurs, l’île
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII . Un salon atomique
6 ville d’exposition qu’on aurait décidé de ne pas détruire . Je m’y perds régulièrement, cherchant d’un œil anxieux l’Obélisque q
7 on avec la meilleure chance d’autrui. Or la Bombe détruirait probablement toute possibilité de comparaison. Les événements mondiau
6 1946, Lettres sur la bombe atomique. XV . L’État-nation
8 stes pour répondre à vos craintes vagues.) Ce qui détruit aujourd’hui les nations, dans le sens valable et fécond de ce mot, c’
9 redoutent ou souhaitent cette éventualité. L’État détruit nécessairement l’originalité d’une nation, lorsqu’il prétend réglemen