1 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (d’après une discussion)
1 éralisme. L’individu étant conçu par les juristes à partir de l’ensemble, ses droits dépendent, en pratique, du bon plaisir de l’Ét
2 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
2 s’annuler. La logique n’a le droit de conclure qu’ à partir de concepts réduits au même ordre. Mais ce n’est pas ici du concept de l
3 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
3 ohérence du fascisme n’est réelle et organique qu’ à partir de l’État. Mais depuis l’origine du monde, les hommes ont toujours appel
4 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
4 née 1921. Reprenons notre courbe de productivité. À partir de 1921, et sans qu’aucun fait nouveau puisse en rendre un compte suffis
5 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
5 es. Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de cette constatation : que les formes et structures des Églises ont tou
6 ôtre. Elle n’admet pas la conversion spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. Elle ne demande pas : que c
7 nzague de Reynold (Conscience de la Suisse). 65. À partir de la fin du xiie siècle surtout. 66. Je rappelle que ce texte date de