1 nse à toutes ces questions, c’est la réponse de l’ Évangile . Faites toutes les sociétés que vous voudrez, bouleversez les instit

2 i unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’ Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà

3 Je ne puis l’accorder sans de fortes réserves. L’ Évangile nous apprend que Dieu s’adresse à tous les hommes, croyants ou non. J

4 ête19. » Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’ Évangile le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révélation, sauvé. Ai

5 lation concrète et humainement bienfaisante que l’ Évangile appelle l’amour du prochain. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pe

6 connue depuis le Christ, elle a été prédite par l’ Évangile et l’Apocalypse — c’est une catastrophe. Tandis que l’issue du commun

7 arriveront à donner un sens réel aux paroles de l’ Évangile . Dieu seul le peut. La conclusion de tout cela est évidente. Si nous

8 ces pseudo-protestants et les églises fidèles à l’ Évangile .

9 réalité dans l’ordre évangélique. Que dit donc l’ Évangile  ? « Les premiers seront les derniers », c’est-à-dire : ce que l’homme

10 ice du pouvoir spirituel nous est prescrit, par l’ Évangile , comme un service dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est

11 e vie. Aussi bien n’en espère-t-on pas d’autre. L’ Évangile ne parle jamais du bonheur57. Il indique à chaque homme sa vocation t

12 e, surtout sensible dans la petite bourgeoisie. L’ Évangile ne parle jamais d’égalité. Il dit simplement que les premiers seront

13 re sa vocation particulière, qui est de prêcher l’ Évangile . — Vous voyez que le Führer sait parfaitement opérer, dans le concret

14 cations conformes au Décalogue et à l’esprit de l’ Évangile . Tout cela doit rester « occasionnel », mais dans le sens du hic et m