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u’il était, à la fin de la guerre, caporal dans l’
armée
allemande. Son idéologie n’a rien de personnel, c’est l’idéologie des
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sonnel, c’est l’idéologie des petits gradés d’une
armée
vaincue. L’hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra
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naire, ou statique, la politique de la contrainte
armée
, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C
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agine volontiers que la force, c’est la police, l’
armée
et la colère des masses. Mais qui dirige la police, qui rassemble une
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ses. Mais qui dirige la police, qui rassemble une
armée
, qui la paye ? Qui excite et ordonne la révolte des masses ? C’est to
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tuel-là vienne à faiblir, à douter de lui-même, l’
armée
n’est plus une arme entre les mains des gouvernants. Tout régime, si
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al. Et cet État aux cadres géométriques, avec son
armée
, sa bureaucratie, sa police, fonctionnera d’ailleurs d’autant plus fa
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de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une
armée
. Le vice d’un tel système, c’est qu’il stérilise peu à peu toutes les