1 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
1 s ses doctrines, et même une expression politique cohérente . Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. Fernandez34 et Guéhen
2 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
2 rne, le fascisme n’a pas une conception totale et cohérente de la vie humaine. Ou plutôt, il n’est cohérent que dans un domaine r
3 cohérente de la vie humaine. Ou plutôt, il n’est cohérent que dans un domaine restreint. Si l’on cherche à décrire le « phénomè
3 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
4 t et d’autre, aucun pouvoir réel, aucune doctrine cohérente et lucide. Les uns ignorent ce qu’ils veulent attaquer, les autres hé
4 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
5 . 6. On nous dira : tout cela est bien beau, bien cohérent , — trop cohérent… Quel est le peuple qui ait jamais pratiqué une tell
6  : tout cela est bien beau, bien cohérent, — trop cohérent … Quel est le peuple qui ait jamais pratiqué une telle politique, dans