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compromission avec le monde. Il n’est plus que le
défi
que l’humanisme total adresse à notre christianisme. Il nous met en d
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éparent ne va-t-il point porter à notre audace un
défi
presque inespéré ? N’est-ce point là notre plus belle chance de grand
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e au rôle que les autres puissances la mettent au
défi
de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui lui soit propre, et