1 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 avoir un destin, un homme seul, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napoléon, César, Lénine ont un destin. Mais aussi
2 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
2 s à ce point inégales, et d’ordre essentiellement différent . D’une façon générale, cela n’a aucun sens de comparer deux civilisat
3 nt. Ils parleront toujours de choses radicalement différentes , même s’ils semblent parler des mêmes objets. Le grand service que le
3 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
4 lles » de deux espèces d’hommes à vrai dire assez différentes  : les jacobins et les ultramontains. Hitler, en unifiant la vieille A
4 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
5 n »), soit que tous deux, apportant des aptitudes différentes , les composent en une force nouvelle. L’homme n’est humain que lorsqu
5 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
6 pays, nous le voyons adopter une politique toute différente . Il ne tombe jamais dans le piège d’opposer à l’absolutisme romain un
7 er sous ce rapport l’Espagne et la Russie. « Fort différentes sur beaucoup de points, écrit-il, elles offrent ceci de commun qu’ell
8 il laisse derrière lui une empreinte tout à fait différente  : une forme d’individualisme. Nous aurons l’occasion d’y revenir tout