1 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
1 s analogues, l’humanisme fasciste et le culte des héros sont pour notre personnalisme une menace plus perfide que le collecti
2 erfide que le collectivisme déclaré. Célébrer des héros dont l’authenticité n’est établie que par le décret du Parti, c’est à
3 que favorise tout au moins, un culte officiel des héros  ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocatio
4 tout au moins, un culte officiel des héros ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocation. Qui n’e
2 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
5 te lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irréductible
3 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
6 on sur l’homme et son destin particulier. D’où le héros , d’où la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant aux décisions