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on retombe alors dans l’idéologie désespérante du
Progrès
. Pourquoi désespérante ? Parce que seul l’absolu console, mais que ja
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peuples de toute la terre continuent de croire au
Progrès
et aux bienfaits de la richesse. Les campagnes se vident ; les jeunes
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stoire du monde, bien loin d’être l’histoire d’un
progrès
continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégringolade, une
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it acquis, une réalité économique. Nous devons au
progrès
mécanique que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une mê
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me refuse à croire que ce passage constituera un
progrès
sur notre état présent. Étant admises les « valeurs » rationnelles, l
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itique ne pourra, pour nous, se confondre avec un
progrès
du salut. Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase d
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revendication d’égalité, s’introduit la notion de
progrès
. Elle est donc liée à l’insatisfaction. Curieuse incompatibilité, dan
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actuel, de la mystique du bonheur et de celle du
progrès
. Le bonheur est une mystique de droite, le progrès une mystique de ga
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rogrès. Le bonheur est une mystique de droite, le
progrès
une mystique de gauche. 59. Ce fut l’Ordre de la Résistance. (Note d
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rement théorique, on la célébrait, sous le nom de
Progrès
, comme une possibilité perpétuellement future. Le jour où elle a cess
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est la véritable fin, tel est le véritable nom du
Progrès
, dans un monde dont le matérialisme foncier ne pourra plus être longt
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mbre des employés. Il n’y a pas lieu de douter du
Progrès
. Il y a plutôt lieu d’augmenter les salaires, preuves grossières et d
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les premières atteintes réelles à sa religion du
progrès
. Il freine partout la rationalisation et rachète les brevets d’invent
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ne du Bonheur, de la Raison, de la Richesse et du
Progrès
. Et l’on se croit pour autant « révolutionnaire » ou simplement commu