1 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
1 st en quoi consiste le péché « originel » — il en résulte qu’il ne peut plus se connaître entièrement lui-même. Il ne peut plus
2 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
2 ions humaines. Je ne vois pas l’avantage qui peut résulter d’une comparaison entre deux réalités à ce point inégales, et d’ordre
3 opposition nette et brutale des deux voies. Il en résulte d’autres oppositions. Prenons, par exemple, ces trois notions : le tr
3 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
4 ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulter de l’affaiblissement systématique des antagonismes. La paix, l’ordre,
5 le capitalisme et les inégalités sociales qui en résultent , par exemple. 55. Le fait que l’égalité ne soit possible que sur le
4 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
6 iginelle. Car c’est bien d’un relâchement qu’elle résulte , d’une déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « t
5 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
7 neur et ses facultés critiques. À la question qui résulte de ce malaise : « faut-il ou non faire de la politique ? », on ne peu
8 nt être normalement subordonnée à la création. Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans la mesure où
6 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
9 ndroit, ou mal faite, ou pas faite du tout. Il en résultait , dans le peuple, le sentiment que l’État et l’Église formaient un tou
10 de la personne, à la fois libre et engagée. Il en résulte que la Réforme, et spécialement sa tendance calviniste, est appelée à