1
ur à quelques amis : Il paraît qu’il existe deux
théories
tout à fait opposées concernant l’origine du genre humain. Les uns pr
2
parce qu’ils ont raison les uns et les autres. Ma
théorie
est la suivante : ceux qui pensent que l’homme descend du singe, desc
3
. Mais le temps vient où les hommes se lassent de
théories
qui expliquent tout sauf l’essentiel. Voici notre dilemme : voulons-n
4
nement justice au communisme. Je puis discuter sa
théorie
économique ; sa conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses métho
5
hoses d’un mécanisme de « l’intelligence-outil ».
Théorie
dont le fatalisme interne reparaît sans cesse dans les propos des mar
6
tes les plus émancipés, les moins « mécanistes »,
théorie
qui ôte à l’acte toute efficacité créatrice et par là même doit être
7
mœurs au cours du xviiie siècle, à la faveur des
théories
rationalistes et matérialistes de l’Encyclopédie. Les théoriciens des
8
le. Alors que « l’individu » se balade au gré des
théories
dans le monde abstrait et juridique de l’égalité, la personne s’enrac
9
une révolution. Cette révolution n’a pas été sans
théories
. Vous savez bien utiliser dans vos discours Machiavel ou Rousseau, Ro
10
iment que la « pratique » étant très infidèle aux
théories
, on aurait pu tout aussi bien se passer des théoriciens… « Nous avons
11
nc pas lieu de s’agiter. Je me méfie toujours des
théories
d’action que proposent les incroyants. Benda est plus honnête, dans s
12
t les incroyants. Benda est plus honnête, dans sa
théorie
de l’inaction. Tous les autres calculent, jusque dans leur désir de s
13
l’intérieur du désordre établi. (Condamnation des
théories
qui veulent qu’on s’empare d’abord du pouvoir, et qu’on travaille ens
14
abord du pouvoir, et qu’on travaille ensuite. Ces
théories
conduisent fatalement à stabiliser la « dictature de transition » et,
15
rlé de la personne en soi. Ils n’ont pas fait une
théorie
personnaliste, ils ne paraissent même pas avoir entrevu la possibilit