1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 anonymes, sous la pluie, dans les vergers où l’on écrase des pommes mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre
2 gés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terrain par-dessous la visière d
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3 lés à bloc crient : « À Stuttgart ! » La Hollande écrasée . Je traîne encore la jambe gauche, suite de cette déchirure du ménisq
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
4 bées dans la cour. Des gouttes chargées de suie s’ écrasent sur mon papier, la verrière doit être fendue ou mal jointe. Raccommod