1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale, où ces formes
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 r rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n’ éprouvent de désir pour leurs biens qu’à la veille de les perdre. Déshérités au
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
3 les déchirures de la brume. Mais de nouveau j’ai éprouvé la sensation de pénétrer dans une aire « sacrée », dans un territoire
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 somme que le péché ? C’est cela, c’était ce que j’ éprouvais à Times Square avec une acuité crispante : l’état du monde d’où l’Esp
5 ils écrivent, à les voir chez eux ou ensemble, j’ éprouve une sorte de tristesse. Ils paraissent encore moins intégrés que leur
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
6 udades do Brazil ! Mélancolie de Rio ! Je l’avais éprouvée jusqu’au malaise, en août. Cette fois-ci, le départ s’est passé comme
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
7 envoie bientôt en Afrique du Nord, et de là… Et j’ éprouve un besoin presque panique de me rassembler, de me retrouver, pour ren
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
8 le est au contraire l’état dans lequel les hommes éprouvent le plus grand mal à pousser leurs efforts au maximum. La guerre nous
8 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
9 l n’est pas fait pour vous, mais près de lui vous éprouvez une liberté. Et cette constatation, bien entendu, ne signifie rien su