1 apable — du moins le croyait-on — d’affronter les armées régulières. 19 juin 1939 « Notre Führer fait une politique d’ar

2 ne heure au café du village. Une heure creuse à l’ armée , quel beau vide, ou quelle plénitude du loisir ! Amusons-nous à dire

3 d’expressions telles que « sous les drapeaux ». L’ armée c’est tout d’abord un cliquetis de casques et d’ustensiles entrechoqu

4 mériter notre paix. Janvier 1940 La section Armée et Foyer de l’état-major m’a chargé de composer un « bréviaire civiqu

5 la liberté, cela signifie qu’ils rétablissent une armée pour tyranniser toute l’Europe. (Le congrès de Nuremberg célébrant le

6 isation générale. Il m’apparaît que notre section Armée et Foyer n’aura plus rien à faire pendant les jours qui viennent. Acc

7 et l’une des marques de cette indépendance que l’ armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix ?4 La première r

8 e juillet 1940 Repris mon service à la section Armée et Foyer. Écrit le manifeste de la Ligue du Gothard. Il paraît sur u

9 oyez prudent, quatre des chefs de la Ligue dans l’ armée ont été arrêtés ce matin à six heures… » Mais pour la Suisse, cet été

10 et tortures en moins. Les mêmes peuvent rire de l’ armée suisse parce qu’elle n’eut pas l’occasion de se battre. Pourtant elle

11 offrait une « mission culturelle » en Amérique. L’ armée démobilisait les deux tiers de ses effectifs. La Ligue s’engageait da

12 uisan convoqua tous les officiers supérieurs de l’ armée pour leur exposer son plan de défense à outrance autour du massif du

13 rt d’Argelès où furent rassemblés les débris de l’ armée rouge d’Espagne, — que c’est vieux, et ce n’était qu’un essai : mise

14 maintenir un certain « ordre » par les soins de l’ armée allemande. Cinquième journée Départ de Madrid hier soir dans un

15 es. Les marchands vous expliquent gentiment que l’ armée vient de faire de gros achats, et que tout est parti pour les camps,

16 ampagne de presse. Démesure et production. — Une armée de 9 millions d’hommes a été formée en moins de deux ans. Soixante mi

17 aux de cire mal mâchés. Une servante les poursuit armée d’une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougie