1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 cles, devant l’Europe. D’autres se sont chargés d’ arrêter les brigands qui voulaient profiter de sa faiblesse. Nous sommes char
2 ers la vallée, dans les vergers. Nous nous étions arrêtés là, hésitant sur le chemin à prendre. Et soudain nous vîmes à nos pie
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3  : prendre le commandement des pelotons chargés d’ arrêter en cas d’agression allemande, à la première heure, les quelques dizai
4 é dressées dans les rues de la ville. La troupe a arrêté des automobilistes munis de passeports français, mais aucun n’était f
5 0 Tourné le bouton de ma radio qui se trouvait arrêtée sur Londres. Une voix nasille, puis se précise à mesure que l’apparei
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
6 quatre des chefs de la Ligue dans l’armée ont été arrêtés ce matin à six heures… » Mais pour la Suisse, cet été-là, le péril mi
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
7 e monde s’est tu dans l’autobus. Nous nous sommes arrêtés pour déjeuner dans un restaurant de Grenoble. Menu pareil à ceux de P
8 nne de trente kilomètres à l’heure. Cet express s’ arrête non seulement à toutes les gares, mais parfois en rase campagne, pour
9 agon-restaurant, le chef de train accepte de nous arrêter pour une heure dans un village. Nous dînons sur la place, à des table
10 ndonnées du Nord et que nos paysans s’efforcent d’ arrêter avant qu’elles n’étouffent leurs champs. J’ai vu renaître les panique
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
11 e par un porche médiéval, où des agents de police arrêtent votre voiture, vous prient de dire où vous allez, et téléphonent à vo
12 é d’une soupe. Les chroniqueurs les plus fameux s’ arrêtent soudain dans leur analyse des nouvelles pour annoncer que leur baille
13 vais Temps. — Il est vain, il est vain de bâtir ! Arrêtez -vous ! « There is no use in building a house » en ce temps-là. Et ceu
14 ifice, mauvais temps. « Que celui qui bâtissait s’ arrête de bâtir ! » Peu comprennent, et beaucoup ne veulent rien savoir… Bea
15 en retire un papier, il le lit. Comme on lirait l’ arrêté du Destin. C’est bien ce qu’il savait, mais maintenant il le sait. Il
16 troite, nos phares illuminèrent des files d’autos arrêtées au bord du talus, tous feux éteints. Dans chaque voiture on devinait
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
17 8, dîner à 10. Je note que la conversation s’est arrêtée à mon entrée. Le lendemain, j’ai mon accident en faisant quelques bal
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
18 t d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s’ arrête . Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la rue des gens tomben
19 onne l’impression d’un cerveau qui ne peut plus s’ arrêter de penser… New York, octobre 1942 Débarquement allié en Afriqu
8 1946, Journal des deux mondes. Virginie
20 Elle n’aime vraiment que ses chevaux… » L’auto s’ arrête devant un haut portique. Deux colonnes blanches entre des ifs géants,
21 ’un bâtiment de ferme. C’est le chenil. Le parc s’ arrête ici, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très
22 leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’ arrêtent devant la barre du portail. Elle pousse son cheval, le portail cède e
9 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
23 n n’est que l’ennemi virtuel.) J’ai cru poli de m’ arrêter pour une heure dans la ville natale de Robert, à quelques kilomètres
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
24 s ? Comment peut-on les justifier ? Ils n’ont pas arrêté un seul espion, tout en causant la perte de milliers d’innocents. Ils
25 er, à Terre-Neuve. Une aurore boréale nous avait arrêtés , non point que sa beauté nous eût cloués sur place, mais parce qu’ell