1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 lois adroites et humaines ne suffiront jamais à l’ assurer  : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 parce qu’elle est tout le contraire d’un pays d’«  assurés  ». Sérieuse et impétueuse comme ceux qui savent que la vie n’est pas
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3 z moi.) ⁂ À propos d’un récent discours où Hitler assurait le peuple anglais de ses bonnes intentions, et le menaçait en même te
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 identité. Or plus il en proteste et moins il s’en assure . Plus il la chiffre et moins il la ressent. Et plus il la démontre à
5 , de tout ce qui allait de soi autour de lui et l’ assurait quotidiennement, inconsciemment, qu’il était bien réel et bien lui-mê
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 s aggravées. Tous les Européens passent par là, m’ assure-t -on, pendant les premiers mois d’un séjour à New York. Écrit une cinqu
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 ngénieux de pensions aux jeunes auteurs, qui leur assure le minimum vital sans les lier. Enfin des « œuvres » innombrables, un
7 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
8 l’an nouveau propice ? Plus que dix jours pour s’ assurer une place dans le monde des familles, un droit à la chaleur des group
8 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
9 fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’ assure que le monde n’est pas prêt pour cela. Les chefs disent que les peupl