1
en voit revêtue. 26 avril 1939 Une heure au
café
avec un romancier, ex-leader du Front populaire et conseiller privé d
2
29 avril 1939 Comme il est des stratèges de
Café
du Commerce — généraux qui n’ont rien à commander —, il est des « rés
3
t qui vivrait sa vie consacrée dans les rues, les
cafés
, les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, où passe le
4
sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au
café
du village. Une heure creuse à l’armée, quel beau vide, ou quelle plé
5
les vents. Rares sont les boutiques, et même les
cafés
. Et s’il passe une auto, c’est une de ces voitures branlantes qui sem
6
passera, et nous serons encore une fois assis au
café
des Deux Magots. La vie reprendra. Cela paraît irréel. » La seconde m
7
la liste des articles qu’on ne peut plus vendre :
café
, liqueurs, savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le pain et
8
es, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand
café
. Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous sert, sous le nom d
9
ais peu d’animation. On nous sert, sous le nom de
café
noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et
10
» dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de
café
, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout
11
sur l’escalier. Il m’attendait. Il m’entraîne au
café
. Il avait des questions à me poser au sujet d’un de mes livres dont i
12
e vraie place, au carrefour de trois rues, et des
cafés
où vers six heures du soir se groupent autour d’un verre et d’un prob
13
es chenilles mécaniques transbahutant des sacs de
café
par milliers, pendant toute une nuit d’insomnie. Nous entrons dans l
14
le bénédicité avant de s’asseoir et l’on pose au
café
des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers