1
mbre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces
conférences
que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’existait peut-êtr
2
rais-je bien être l’« ex » ? Avec ma « mission de
conférences
» (prétexte évidemment peu convaincant) je fais figure d’ex-voyageur
3
on vous demande un cent. 13 novembre 1940
Conférences
. — Elles doivent être courtes — cinquante minutes — et garder autant
4
ars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze
conférences
. Débâcle russe. Absurdité du siècle. Toutes les causes collectives en
5
s Aires. Je n’ai pas écrit une seule de mes douze
conférences
. L’hiver ramène ses soucis. Mais il est des plus modérés. 4 août 1
6
e, mes premières impressions, le programme de mes
conférences
, ce que je vais dire dans la prochaine, ce que j’y ai dit, lesquelles
7
ison. On eût dit que vous le faisiez exprès… » ⁂
Conférences
. — Comme aux États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins n
8
res du groupe de Sur, l’honneur du Sud… Avant mes
conférences
sur l’hitlérisme, on a craint que le gouvernement ne m’empêche de par
9
alistes. ⁂ L’Anti-diable. — L’avant-veille de ma
conférence
sur le diable dans notre siècle, un reporter américain chez qui je dî
10
— Qu’en savez-vous ? Je n’ai pas encore écrit ma
conférence
? — Nous savons tout, prenez ce fauteuil. — Vous en savez donc plus
11
résident du Jockey ayant proposé que je donne une
conférence
dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un t
12
ureau par jour, pour rentrer en possession de mes
conférences
, lettres, journaux intimes, coupures de journaux, carnets d’adresses,
13
on lit, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma
conférence
de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à é