1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 tragique évidence. Et c’est cela que nous avons à défendre  : le seul avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soi
2 qu’en fait, si nous sommes là, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôt
3 ofiter de sa faiblesse. Nous sommes chargés de la défendre contre elle-même, de garder son trésor, d’affirmer sa santé, et de sa
4 n’existait peut-être plus, qui était réduit à se défendre par le suicide, la Hollande inondée, disait-on. ⁂ Et voici sous la pl
5 la mesure de notre action. Je vais à lui pour me défendre contre l’écœurement qui me guette. Et dans sa volonté presque cynique
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
6 ns. Pourtant nous sommes les seuls à pouvoir nous défendre . Depuis plusieurs années, je pense au Saint-Gothard comme au cœur de
7 ndance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix ?4 La première rencontre des dix « conjurés » aura lieu
8 tégrité du territoire. » Or il est clair que pour défendre un territoire, il est parfois indiqué de céder du terrain : c’est ce
9 0, qu’il est aussi des retraites nécessaires pour défendre l’indépendance. Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bon
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 d’être humain, au lieu de le forcer sans trêve à défendre sa vie d’animal ? J’en vois un, c’est peut-être le seul. Là, point de
4 1946, Journal des deux mondes. Intermède
11 mal placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par n
12 rit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par nous, dans l’exil…
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
13 sujet de la liberté, il la perd en feignant de la défendre encore. Prenons du champ. Et d’abord un grand bain d’air pur, après u