1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 ue : comme elle est vide ! Les toits d’ardoise ne dépassent pas les façades nues, brunies par l’âge, patinées par les vents. Rare
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
2 ne pour rien ? Pourquoi détestent-ils tout ce qui dépasse et tolèrent-ils si bien ce qui n’atteint même pas une moyenne réputée
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
3 ⁂ Conférences. — Comme aux États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient à ces petites plaisa
4 ent des saisons paraît si confondant dès que nous dépassons le Tropique du Capricorne. Ici, Noël tombe en été, le Midi est plus f
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
5 pinceaux puérils et tire la langue pour ne pas «  dépasser  ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
6 aline, à de Gaulle, à ceux qui se préparent à les dépasser . Elle imite les arts de Paris, les vins de la France et du Rhin, le t
6 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
7 timbre, par exemple, avec une gratitude émue qui dépasse curieusement l’occasion, mais dont on sent que le surplus peut entret
8 que le réflexe de critiquer sèchement tout ce qui dépasse alors que l’on tolère très bien ce qui n’atteint même pas le niveau m