1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 ous force au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille et goûte enc
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 ellement au bonheur ! Un cri dans le vent va tout détruire . Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un instant de répit s
3 uenets trichaient au jeu mortel, quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa c
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 laquelle avec l’aide des machines est en train de détruire les grandes villes et le capitalisme industriel. Cela s’appelle : ret
5 es tous atteints. Quelqu’un disait : Si Paris est détruit , j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas
6 ût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas détruite  : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
7 es plus grands désastres de l’histoire. Des ponts détruits dans une région où les Allemands ne vinrent jamais — tandis qu’ailleu
8 us savons maintenant que c’est possible : on peut détruire une grande nation, tuer ses guides spirituels, supprimer ses moyens d
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 marais, des débris et les fumées des feux qui les détruisent , lieu de désolation voluptueuse où T. S. Eliot, me dit-on, conçut l’i
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
10 la porte, ou dans le cœur. La guerre « produit », détruit , multiplie et divise (ce sont ses quatre opérations) mais ne crée rie
7 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
11 e que « ces gens » de Washington sont en train de détruire à coups de décrets socialisants, capitalistes et centralisateurs. Poi