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ous force au réalisme à sa manière, le charme est
détruit
dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille et goûte enc
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ellement au bonheur ! Un cri dans le vent va tout
détruire
. Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un instant de répit s
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uenets trichaient au jeu mortel, quand les canons
détruisaient
l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa c
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laquelle avec l’aide des machines est en train de
détruire
les grandes villes et le capitalisme industriel. Cela s’appelle : ret
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es tous atteints. Quelqu’un disait : Si Paris est
détruit
, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas
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ût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas
détruite
: elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres sans âme, cimetière… L
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es plus grands désastres de l’histoire. Des ponts
détruits
dans une région où les Allemands ne vinrent jamais — tandis qu’ailleu
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us savons maintenant que c’est possible : on peut
détruire
une grande nation, tuer ses guides spirituels, supprimer ses moyens d
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marais, des débris et les fumées des feux qui les
détruisent
, lieu de désolation voluptueuse où T. S. Eliot, me dit-on, conçut l’i
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la porte, ou dans le cœur. La guerre « produit »,
détruit
, multiplie et divise (ce sont ses quatre opérations) mais ne crée rie
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e que « ces gens » de Washington sont en train de
détruire
à coups de décrets socialisants, capitalistes et centralisateurs. Poi