1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 raient avouer que cette menace leur rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n’éprouvent de désir pour leurs biens qu’à
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 sous la menace. Alors on vit à plein. On sent le goût des choses. Et l’on est prêt à tout abandonner au premier signe du de
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3 un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas détruite : elle s’est
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 us sert, sous le nom de café noir, un breuvage au goût d’encre additionné de jus de saccharine. Et les apéritifs sont interd
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 maintiendrait-il ? Il est fondé chez nous sur le goût de l’objet, mais aussi, avouons-le, sur la disette et le besoin d’uti
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
6 nos raisons folles. Si nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce paysage se transformerait. Si je me tourne vers le
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 eur, sinon que tant de luxe, humanisé par tant de goût s’y rend presque invisible aux premiers regards. Laissons aux simples
8 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
8 mit de toutes ses fourrures et se récrie : — Quel goût  ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici, tou