1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 ns un train bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat a
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 tuniques mouillées, paperasses. Revanche sur des journées de discipline et de paquetages alignés au cordeau qu’il faut inspecte
3 ces notes de voyage, ayant fini le travail de la journée  — me décourage un peu, ce soir. C’est le contraire de ce qui fonde no
4 misère avec de l’avancement et des uniformes, des journées commencées et terminées par un roulement de tambour, voilà ce qui doi
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
5 u’il m’importe de connaître de visu. Première journée À six heures du matin, rue du Mont-Blanc, à Genève : l’embarquemen
6 t plus distinguer de responsabilités… Deuxième journée Aube sur Sète et son cimetière marin, célébré par le plus beau poè
7 e et s’est éloigné. Partirons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts, et, dans le por
8 eurs forcés de passer par leur pays. Quatrième journée Madrid, quarante degrés à l’ombre ; et le Prado, seul refuge, est
9 par les soins de l’armée allemande. Cinquième journée Départ de Madrid hier soir dans un train archiplein — beaucoup de
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 tes surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, patient comme un lion
11 ce, en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux s
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
12 York, 31 janvier 1943 Les deux décades. — La journée d’hier marquait un double anniversaire : dix ans d’Hitler et dix ans
6 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
13 it chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
7 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
14 umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que nous ferons à rebours en trois heures. Nous sommes par
15 cielles mais sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée , comme disent les Anglo-Saxons, pensant au temps qu’il fait, tout sim