1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 e qui compte, et que la joie ne dépend pas de nos misères . J’y songeais l’autre soir, à Orléans, en entendant la Jeanne d’Arc a
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 aines ne peuvent pas supporter éternellement leur misère et leur envie. Un certain degré de misère avec de l’avancement et des
3 nt leur misère et leur envie. Un certain degré de misère avec de l’avancement et des uniformes, des journées commencées et ter
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 aux Chevaux de Marly, les siècles de grandeur, de misère , de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fièr
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
5 itarisme ne sera jamais qu’une organisation de la misère . Mais je doute que les phalangistes soient capables à eux seuls d’org
6 pables à eux seuls d’organiser suffisamment cette misère -là. Il circule d’horribles histoires sur la mise au pillage des campa
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
7 s angoisse. Point de bohème en Amérique. C’est la misère totale ou le niveau bourgeois, celui que revendiquent les ouvriers et