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aut plus songer, ce serait quitter du même pas la
planète
… ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est enco
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scend dans ces contrées les plus humanisées de la
planète
, le long du Rhône, dans l’invincible euphorie des approches du Midi ?
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se venir ceux qui lui apportent les rumeurs de la
planète
. Mais l’un questionne et l’autre parle. Il parle de Briand qu’il a se
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utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la
planète
. Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
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penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la
planète
. À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
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nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la
planète
, est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient
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ter contre des forces brusquement disparues de la
planète
, — lutte inutile désormais, vaine une fois le danger disparu ? Oui, s
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de Français, sur 2000 millions d’habitants de la
planète
, non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
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rement au point de départ, après un petit tour de
planète
. Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
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r quitté la guerre. « Journal d’un habitant de la
planète
en guerre » ce serait un titre assez exact. Mais je suis d’un pays, e