1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 aut plus songer, ce serait quitter du même pas la planète … ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est enco
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
2 scend dans ces contrées les plus humanisées de la planète , le long du Rhône, dans l’invincible euphorie des approches du Midi ?
3 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
3 se venir ceux qui lui apportent les rumeurs de la planète . Mais l’un questionne et l’autre parle. Il parle de Briand qu’il a se
4 utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la planète . Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
5 penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète . À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
6 nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète , est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient
4 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
7 ter contre des forces brusquement disparues de la planète , — lutte inutile désormais, vaine une fois le danger disparu ? Oui, s
5 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
8 de Français, sur 2000 millions d’habitants de la planète , non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
9 rement au point de départ, après un petit tour de planète . Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
6 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
10 r quitté la guerre. « Journal d’un habitant de la planète en guerre » ce serait un titre assez exact. Mais je suis d’un pays, e