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rrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me
prêtait
sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’escalier. I
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r 25 kilomètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a
prêté
sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maiso
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rs si strictement vêtues de noir et blanc, et qui
prêtaient
au Paris d’avant-guerre ses plus élégantes Parisiennes. Je sais bien
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heures au fond de la grande salle. Il vient nous
prêter
sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour l