1 ec précision. Forcer la porte, couper les fils de téléphone , prendre le type, ramasser les papiers… La légation allemande, nous d

2 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d

3 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de M. Oui, il y aura des histoires, paraît-il… Mais rien de nouveau j

4 deux minutes. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. C’est bien vous qui avez écri

5 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour

6 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones .) Le risque individuel prend sa place normale dans le risque collecti

7 l. Tout est détail, facile et plutôt fastidieux : téléphones , lettres, coups de sonnette, vérifications, petits retards, noms à re

8 oitures circulent à gauche, et au lieu de dire au téléphone allô, on dit : olla / Je vais regarder, demain matin, si le soleil ne

9 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent

10 fallait rentrer. J’ouvre ma porte et j’entends le téléphone . C’est un ami qui va quitter l’Office of War Information, étant appel

11 alle sans bruit dans les bureaux presque déserts. Téléphone de Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… « N’ête

12 en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone , la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d

13 disparu de New York depuis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un samedi soir. — Que devenez-vous ? — C’est bien par chanc

14 e me suis abonné au « service de secrétaires » du téléphone  : il répond de ma part en mon absence, prend les messages et me les c

15 able sans retirer mon manteau, et je décroche mon téléphone . — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop