1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 fort que les champs de roses, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Mars 1940 Entre le déclenchement précis des mé
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
2 et de serviettes anormalement gonflées. Une femme traînait un énorme filet à provision qui semblait bien lourd pour ne contenir
3 rient : « À Stuttgart ! » La Hollande écrasée. Je traîne encore la jambe gauche, suite de cette déchirure du ménisque. On me r
3 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
4 lats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent , les ponts s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous
4 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
5 onctué de défauts blancs. Un petit fuseau clair y traîne sa fumée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du traj