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rsuit dans les métamorphoses de sa vie : toujours
vêtue
aux couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les h
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s femmes des estancieros, toujours si strictement
vêtues
de noir et blanc, et qui prêtaient au Paris d’avant-guerre ses plus é
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trio : un loup déguisé en mouton et deux moutons
vêtus
de leur vraie peau. Mais rien n’empêche le Waldorf-Astoria d’annoncer
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ail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand,
vêtu
de noir, aux pantalons étroits, aux longs souliers pointus, sort d’un