1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 pération, fort coûteuse si l’on habite loin d’une frontière , n’a de toute évidence qu’une portée symbolique et rituelle. Autremen
2 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
2 effort des pionniers a consisté à repousser cette frontière toujours plus loin vers l’ouest. Jusqu’à ce qu’enfin, au xixe siècle
3 tournèrent vers l’industrie. Ce fut leur nouvelle frontière , leur nouveau front, dirait-on de nos jours. Et ce fut l’ère des fort
4 lisme américain. ⁂ Où trouveront-ils désormais la frontière qui mettrait au défi leur esprit d’aventure ? La terre ni le ciel ne
5 ntenant l’Américain, devant le monde, sa nouvelle frontière . En ce milieu du xxe siècle, il se voit partagé entre deux rêves con
6 e petit-fils des pionniers qui luttaient sur la «  frontière  ». Il pressent qu’il a fait son plein ou qu’il est bien près de le fa
7 une vie sans cesse plus large et libre. Mais la «  frontière  » désormais se confond avec les frontières mêmes des États-Unis. Il f
8 is la « frontière » désormais se confond avec les frontières mêmes des États-Unis. Il faut donc en sortir, et deux voies sont poss
9 nt, depuis que sa mouvante frontier a rejoint ses frontières naturelles, aux environs du début de ce siècle. Ces frontières se tro
10 turelles, aux environs du début de ce siècle. Ces frontières se trouvaient être deux océans, au-delà desquels régnaient le Japon e
3 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
11 en gros et en détail, de ce refus d’ouvrir leurs frontières , de l’esclavage où ils tiennent leur presse, et de l’orgueil de parve
4 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
12 des défricheurs de savanes qui firent reculer la frontière de décade en décade, à travers le Far West, jusqu’à ce qu’ils eussent