1 1947, Vivre en Amérique. Avertissement
1 nts qu’à l’autre. La réponse théorique dépend des goûts , et la réponse pratique, des vocations. J’ai choisi pour ma part d’êt
2 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
2 énumérer les exemples courants et voyants de leur goût baroque des fêtes, et de leur respect de la mise en scène solennelle.
3 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
3 a peut-être un gangster qui sommeille. Voyez leur goût des douceurs, des ice-creams, du lait, des nourritures d’enfants ; vo
4 eption de la vie de son patron, ses préjugés, ses goûts et ses aspirations. Cette unanimité foncière peut paraître un progrès
5 e aux Russes. Je vous laisse comparer. Chacun ses goûts . Je me borne à marquer une différence capitale : l’Américain n’insist
6 tique étrangère, dont nous n’avions naguère ni le goût ni le besoin… » ⁂ Prise entre ces reproches contradictoires d’isolati
4 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
7 ébutants et critiques ; donc point de tribunal du goût , de critique parlée, de rumeurs, ou de réputations fondées sur le pit
8 u à récrire les manuscrits, afin de les mettre au goût de la maison et à la portée du public que cette maison a décidé d’att
9 utions logiques, nos excuses au lecteur, et notre goût du style cultivé pour lui-même quel que soit le sujet, l’occasion, ou
5 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
10 ime point à souffrir, et tient pour perversion ce goût de la torture exaltante et intéressante qui fait le sujet de nos plus
11 des circonstances qui les causent. Il n’a pas le goût de la durée intense. C’est tout de suite ou jamais. C’est OK ou ce n’
12 me à son égard est faite pour éveiller en elle le goût de la liberté et de l’autonomie, comme elle dira ; entendons bien : d
13 e passe comme si l’homme d’Amérique n’avait qu’un goût modéré pour la femme, dont il ne serait que la conquête plus ou moins
14 qu’il ignore, c’est ce mélange de scrupules et de goût de les violer, de sentiment longuement macéré et de raffinements casu
6 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
15 on consiste essentiellement en ceci : cultiver le goût , parler des arts et des lettres, savoir deviner l’année d’un grand cr
16 ois sur dix, bien plus près du Méridional par son goût de l’exagération — Tartarin serait bien épaté — son humeur communicat
17 lui le sens de la vie privée, nous avons le même goût de la production en masse et sans y regarder de trop près, du travail
18 égards ; saurons-nous garder au moins cela ? Le goût de la complexité. La tendance générale à simplifier, à géométriser, t
19 bornée de notre condition humaine, de même que le goût des formes parfaitement arrondies révèle une pauvre conception de l’a