1 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
1 Satan, dit-on, sait occuper les mains oisives. La mère américaine, libérée des travaux qui la maintiennent ailleurs dans les
2 . Mom le transmute en sentimentalité fixée sur la mère dévorante. Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la Mère la tr
3 . Sans nul doute faut-il voir dans ce mythe de la Mère la tragédie secrète d’une civilisation qui produit plus de divorces,
4 e, le jeune Américain, inconsciemment, cherche la mère . Il la sert, elle l’endort et le semonce. Au culte qu’il est censé lu