1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 femmes en embrassant leur légitime et monstrueux époux  ! Question de convenance comme nous le disions hier1. Je trouve leur
2 laideur même. N’allez pas dire au citoyen Durand, époux d’une femme obèse mais rajeunie par les soins de l’art, que l’idéal n
3 ité de la beauté physique, et qui est cependant l’ époux d’une jolie femme, permettez-moi de le dire… Le mari. Je ne vous le
2 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
4 rons tous à l’amour qui ne tranche rien, mais qui épouse , qui accepte, qui pénètre, et qui sait bien que pour nouer un lien so
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
5 , et comblé pour l’éternité. « Mais l’Esprit et l’ Épouse disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens ! à celui qui po