1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 ter par quelque voie secrète à la sécurité de son état . Mais il est trop facile de les railler, c’est déprimant, on tape dan
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
2 on fâcheuse la croyance que ce but existe en tout état de cause. Pour moi, c’est presque le contraire. Voilà : je sais que j
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
3 pouser. Mais n’allons pas conclure trop vite. Les états d’âme d’un malade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des états
4 ade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des états d’âme d’un homme sain ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d
5 n ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d’ état qui, normalement, ne tarderaient pas à se muer en leur contraire ? Pl
6 à se muer en leur contraire ? Plus précisément, l’ état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit ou d’u
4 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
7 t un phénomène analogue à celui de l’hypnose : un état de l’âme ou de l’esprit rétrécissant le champ des facultés vers un ob
5 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
8 fréquentais à l’insu de ma femme. J’étais dans un état d’exaltation extrême, à peu près incapable de dormir, sauf quelques h
6 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
9 ique et vraiment souveraine : la royauté dans son état naissant. Je me souviens. J’allais m’asseoir au temple, par les jours