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ter par quelque voie secrète à la sécurité de son
état
. Mais il est trop facile de les railler, c’est déprimant, on tape dan
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on fâcheuse la croyance que ce but existe en tout
état
de cause. Pour moi, c’est presque le contraire. Voilà : je sais que j
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pouser. Mais n’allons pas conclure trop vite. Les
états
d’âme d’un malade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des états
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ade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des
états
d’âme d’un homme sain ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d
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n ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d’
état
qui, normalement, ne tarderaient pas à se muer en leur contraire ? Pl
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à se muer en leur contraire ? Plus précisément, l’
état
de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit ou d’u
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t un phénomène analogue à celui de l’hypnose : un
état
de l’âme ou de l’esprit rétrécissant le champ des facultés vers un ob
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fréquentais à l’insu de ma femme. J’étais dans un
état
d’exaltation extrême, à peu près incapable de dormir, sauf quelques h
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ique et vraiment souveraine : la royauté dans son
état
naissant. Je me souviens. J’allais m’asseoir au temple, par les jours