1 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
1 veauté reste entière. Et j’y songe : ce Schlemihl éternel , ce symbole en bottes de sept lieues qui traverse encore notre vie, n
2 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
2 a rencontré soudain la fascinante idée du Retour éternel . Devant le roc de Sils-Maria on le voit interrompre sa course, change
3 qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou la vie éternelle . Il faut donc que Don Juan disparaisse (car Don Juan ne gagnait qu’en
4 ment, le jugement dernier — d’où l’idée du Retour éternel . Comme je parlais de ces choses à une amie : « J’ai connu, me dit-ell
3 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
5 plus la mort mais la vie et l’héritage de la vie éternelle . J’emprunte à Jean-Paul7 une histoire étrangement parabolique et qui,
6 ranche chargée de fruits. Si un homme veut la Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette vie temporelle, les eaux vives fu
7 t seule, et dans un seul instant, mériter la joie éternelle . 7. Dans les Flegeljahre.
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 e qui est réel, tout ce qui manifeste la présence éternelle de la Fin, tout ce qui donne un sens d’éternité à vos singeries, vous
9 s, qui n’était pour nous qu’un refus de l’instant éternel . Et l’Histoire tout entière dans l’acte de ce oui, se manifeste au Jo
10 féra tout entière dans ce cri, réponse unique à l’ éternelle sommation, somme absolue de ses journées et de ses nuits, de ses pens