1 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
1 Et nous vivrons dès lors dans le vertige de nous détruire au contact de cet infini, plus puissant que la joie et la douleur. Da
2 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
2 vulgarité, le triomphe perd toute saveur. Il faut détruire maintenant les valeurs neuves qu’on avait inventées pour la lutte. Il
3 as pour bâtir un système qu’il réfute, dénonce et détruit , c’est pour la joie du viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de l
4 ’est au point de fureur dionysiaque où la joie de détruire devient douleur, et dans l’angoisse d’une puissance anéantie par son
5 vérité des êtres. Nietzsche pose des valeurs qui détruisent les règles anciennes, mais qui ne valent que par ces règles et dans l
3 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
6 de la simplification hâtive ; de l’expérience qui détruit son objet ; de l’action efficace au détriment du sens ; de la tricher
7 n’apprend à peu près rien sur sa structure, mais détruit à jamais l’espoir de le refaire, de le comprendre ou de s’y laisser p
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 nt de notre condition, elle imagine des idées qui détruisent l’homme, l’on rencontre sans trop d’effroi l’idée de l’homme détruit 
9 on rencontre sans trop d’effroi l’idée de l’homme détruit  ; l’idée de l’homme qui pense cette idée, détruit ; l’idée que vous,
10 détruit ; l’idée de l’homme qui pense cette idée, détruit  ; l’idée que vous, et qui pensez, un jour ne serez plus, un jour sere
11 ine, quel est son rêve ? La grandeur ? Nous avons détruit toute mesure, et plus rien n’est grand ni petit, mais toute chose san
5 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
12 e parce que seule une destruction peut nourrir ou détruire une destruction. On n’avait pas besoin du Feu pour se chauffer ou pou
13 us les Tropiques. Le Feu n’était que l’invité qui détruisait forêts, gens et maisons, étant admis… » Nous regardions le feu dans l