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urs le même paysage de carte postale en couleurs,
idéal
inévitable de ceux qui n’ont pas de point de vue sur le beau temps. É
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appelle ça de l’académisme. … Je me moque du beau
idéal
comme du bien moral. Ça ne correspond à aucune couleur connue. Je m’o
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fre, ou lui refuse, certains traits conformes à l’
idéal
. Mais il n’a pas conscience, encore une fois, de projeter sur les obj
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, encore une fois, de projeter sur les objets cet
idéal
. Il constate seulement qu’aucune femme réelle ne lui apparaît jamais
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eux qui ont renoncé, ceux qui ne croient plus à l’
idéal
, ou plutôt qui croient qu’ils n’y croient plus, parce qu’ils y ont re
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obèse mais rajeunie par les soins de l’art, que l’
idéal
n’existe pas, que le beau idéal est une farce, que la beauté enfin n’
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s de l’art, que l’idéal n’existe pas, que le beau
idéal
est une farce, que la beauté enfin n’est pas une image mais un acte,
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femme jolie. Elle ne correspond pas du tout à l’«
idéal
» que j’avais dans l’esprit au moment où je l’ai rencontrée. Mais voi
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sex-appeal ! De plus, si vous avez vraiment comme
idéal
celui que vous venez de décrire et que je nommerai plus simplement le
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ns vraisemblable : Don Juan cherchant partout son
idéal
, son « type » de beauté féminine (souvenir inconscient de la mère) —
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sa course. L’amour ? La solidarité ? Ce sont des
idéaux
de ligues, des mots qu’on n’ose plus employer qu’au dessert. La riche