1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 s son regard : appuyé sur lui-même, il se perd en méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se voir : il est
2 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
2 en de grandes pensées se nouèrent dans ce piège à méditations symboliques ! Combien de regards aussi, apparemment stupides, apprire
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
3 ort, de la mienne. Et non plus, à mon sens, de la méditation que je poursuis entre ces phrases, dans cette matinée blanche, typiqu
4 -il pas qu’une instance mystérieuse aimante notre méditation et qu’elle la fixe sur cela que le naturel se refuse à prendre au sér