1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 stez vraiment et vous n’êtes justiciable d’aucune règle extérieure à votre action. Je dirai plus. L’amateur d’art, en présenc
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
2 rmes du langage courant. L’auteur. Prenons la 3e règle de sa méthode : « Conduire par ordre mes pensées en commençant par le
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
3 onformismes « totalitaires », si l’on faisait une règle de cette constatation. On ne doit accepter une vérité de ce genre qu’
4 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
4 décrit. Don Juan suppose une société encombrée de règles précises dont elle rêve moins de se délivrer que d’abuser. Dans le ve
5 l’on connaît le système, entièrement relatif aux règles du jeu. Imaginons un don juanisme plus secret, une table de pharaon o
6 tout coup pour peu qu’on ait l’envie de nier des règles que personne n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se ferait tuer po
7 es. Nietzsche pose des valeurs qui détruisent les règles anciennes, mais qui ne valent que par ces règles et dans la mesure où
8 règles anciennes, mais qui ne valent que par ces règles et dans la mesure où l’on sent qu’elles les violent. Pour peu qu’il l
9 . Par-delà le bien et le mal, par-delà toutes les règles du jeu, il faut qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou la vie éter
10 ne gagnait qu’en trichant, et s’il n’y a plus de règles , on ne peut plus tricher). Voici peut-être la clé du mystère : c’est
11 lé du mystère : c’est qu’en respectant toutes les règles , nous ne pourrons jamais que perdre. Alors : ou bien nous serons cond
12 tricherie ? Dans le défi, installé au cœur de la règle  ?