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gile du jour, dont l’usage est alors mythique, au
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où je l’entends ici. Il m’a semblé que le rapprochement de ces trois
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regrette profondément que vous n’ayez pas plus de
sens
qu’un oiseau. Sonnette, si vous étiez païenne ou si vous étiez chréti
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mais seulement à distinguer, pour moi seul, leur
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convenable. Et lorsque je connais où se situe leur lieu, j’établis en
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ille, habitant d’Argos. N’ayant pu débrouiller le
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de l’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une ville là où il trouve
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n’en dirais pas autant d’Ellen. Pas faite pour un
critique
! Jolie, oui. Mais je pensais, en les voyant ensemble : ma Léda est b
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us commettez la même erreur que lui, dans l’autre
sens
. Le peintre. Vous voulez dire ? Le mari. Qu’il se trompait en parla
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orale sans cadre, qui concernerait par exemple ce
critique
et sa femme ? Voilà une distinction que je ne m’attendais pas à vous
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t se comporte en moraliste, non point en homme de
sens
. Au contraire, celui qui la considère dans son existence propre, c’es
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rapporte plus ou moins à une carte postale. Notre
critique
d’hier, tenez, nul besoin de gratter beaucoup pour trouver la carte p
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e tait jusqu’à ce qu’il comprenne et juge le vrai
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de son trouble. Le peintre. Et alors ? Le mari. Et alors il se tait
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prends dans son être et dans son existence, je me
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tout entier orienté vers une réalité plus profonde et plus libre, plu
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ue ne sont pas deux réalités opposables, et qu’au
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plein de ces deux mots, on les peut employer l’un pour l’autre. Dans
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L’agent. Quelle merveilleuse idée d’article ! Je
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que la photo sera bonne, nous l’avons prise pendant que vous parliez
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ou D’un langage qui ne veut pas être clair Un
critique
. J’ai lu vos trois dialogues sur la Carte Postale, je les aime bien…
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présentent, comme cela se dit d’une blessure… Le
critique
. Oui, oui… Mais ne tirez pas argument d’une exagération de ma critiqu
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ais ne tirez pas argument d’une exagération de ma
critique
. Ce qui me gênait, je crois, c’est qu’à mon sens vous n’êtes pas enco
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tique. Ce qui me gênait, je crois, c’est qu’à mon
sens
vous n’êtes pas encore assez clair. L’auteur. Et pourquoi, je vous p
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est la bonne manière de se faire comprendre ? Le
critique
. On voudrait être sûr que vous vous comprenez assez. L’auteur. Assez
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comprenez assez. L’auteur. Assez pour quoi ? Le
critique
. Assez pour n’être point la dupe de vos phrases. Écrire, et surtout e
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s ou ses idées, avant toute raison avouable ? Le
critique
. Certes, mais il faudrait composer les entrées. Il faudrait nous pers
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ns du sujet de mes deux précédents dialogues. Le
critique
. Du moins serez-vous en garde contre votre obscurité ? L’auteur. C’e
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D’autant qu’ils seront probablement exagérés. Le
critique
. Que de précautions ! Vous êtes en train d’imiter ce héros de je ne s
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, ou une espèce de style garanti par l’usage… Le
critique
. Hé quoi ! vous savez que tout notre langage est un système conventio
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st pas là le seul mode d’expression possible. Le
critique
. Précisément je souhaitais de vous voir choisir entre un langage fran
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l que celle qu’impose la fin de toute pensée. Le
critique
. Restons, si vous le voulez, sur le plan du langage. N’est-ce pas la
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de me défier d’une convention aussi commode. Le
critique
. Il me semble qu’il faut y voir une garantie contre les illusions de
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te une « arrière-image » qu’il faudrait dire. Le
critique
. Ne serait-il pas trop cartésien de vous demander de préciser ? L’au
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nce, c’est-à-dire par cette volonté d’exclure les
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ordinairement contradictoires des mots. Ainsi les lois formulées par
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des formes courantes du langage, vidées de leurs
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particuliers. Ce procédé est sans danger quand il est appliqué par le
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t ils dépendent et qui est leur seule mesure. Le
critique
. J’avoue que je vous suivrais mieux si vous pouviez me montrer chez D
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es parties que par le tout, et non l’inverse. Le
critique
. J’observe une fois de plus avec curiosité le glissement qui s’opère
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… L’auteur. L’expression vous apparaît privée de
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? Mesurez donc, une bonne fois, toute l’ampleur de ma déraison. Laiss
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nu par l’espoir d’une vision renouvelée. Voilà le
sens
, l’orientation de ma démarche, et c’est pourquoi je vous disais qu’on
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paraisse absurde à l’observateur raisonnable. Le
critique
. Le propre d’une vision pareille, c’est qu’elle est incommuniquable,
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raison. Ainsi la parabole est une énigme dont le
sens
est dans la vision. Le critique. Comment expliquez-vous le plaisir q
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t une énigme dont le sens est dans la vision. Le
critique
. Comment expliquez-vous le plaisir que je prends à la lecture de cert
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rends à la lecture de certaines paraboles dont le
sens
eschatologique m’échappe, je le suppose, absolument ? L’auteur. Je d
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se gâtent, et quand on a faim, on les ouvre. Le
critique
. Encore une petite question, voulez-vous ? Qui a le droit de parler e
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compris en soi et dans leur lettre, mais dont le
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dernier ne puisse être aperçu sous un angle de vision quelconque. Je
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ience folle le mène à une découverte sur les sept
sens
de laquelle il conviendra de méditer : la personne se dissout dans l’
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ur troublé par la crainte de n’avoir pas saisi le
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véritable d’un texte, trouve parfois de son incompréhension des marqu
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s contes sans jamais se poser de questions sur le
sens
d’un tel accident, dont à vrai dire les suites sont assez pittoresque
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sont assez pittoresques pour qu’un « poète » (au
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banal) préfère en ignorer la cause ? L’on s’étonne enfin de ce lien e
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té dans ses écrits. (Il peut être, d’ailleurs, au
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courant du mot, le plus « pudibond » des bourgeois : un Amiel…) Cepen
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gne de ce nom étant d’abord une mise en ordre, un
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donné… C’est par là que Chamisso s’est sauvé de lui-même : s’il a fai
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nt. Pour peu qu’il les impose, elles perdent leur
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, puisque le système qui les mesurait n’existe plus. Par-delà le bien
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e la gloire est donc né d’une sorte de maladie du
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social. C’est le contraire de l’amour du prochain. L’individu qui che
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son objet ; de l’action efficace au détriment du
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; de la tricherie ; de la rupture des liens. Et depuis lors, je vais
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Renouez-le ! Renouez-le ! Car il y va de tout, du
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même de nos vies ! Car vous mourez, nous mourons tous d’ennui, dans u
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t que d’une mauvaise farce, indigne d’un homme de
sens
. Le fiscal Knol se sent prêt à pleurer de colère. Pasvogel, le rusé l
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sa propre mort, de la mienne. Et non plus, à mon
sens
, de la méditation que je poursuis entre ces phrases, dans cette matin
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nt, si tout s’arrête avant midi, pour moi ? Je ne
sens
pas que l’idée soit tragique : elle m’appartient, je puis en disposer
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e impuissance à comprendre le mot penser dans son
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fort. Car penser sa mort réellement, ce serait aussitôt mourir. Peut-
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l’on admet que le temps va toujours dans le même
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: vers sa fin. Mais c’est une mauvaise raison. Depuis qu’il court ain
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tin et de sa liberté, s’il voyait à l’œil nu leur
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dernier et l’enjeu véritable de ses choix, à qui reviendrait l’empire
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els de notre marche séculaire. Que savons-nous du
sens
de notre civilisation ? Quelle est sa fin, dès l’origine, quel est so
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résence éternelle de la Fin, tout ce qui donne un
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d’éternité à vos singeries, vous l’appelez exagéré, démesuré. Écoutez
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i pas discuté ces derniers mots, qui choquent mon
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de la logique, mais j’ai quelques meubles de prix. J’ai même feint d’
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t d’eau de Cologne. Quand j’ai mes humeurs, je me
sens
faible. Je suis tout chargé. Ça me donne sur les nerfs. Plus qu’il m’
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eille couvert de terre, le lendemain matin, je me
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propre ! La forêt, le fouillis, les feuilles, c’est comme les femmes…