1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 se chez le coiffeur. Déjà, c’est avec une sorte d’ angoisse qu’il la recherche. Il veut se voir tel qu’il est parmi les autres. M
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 erdu son ombre se promène parmi les hommes avec l’ angoisse de voir révélée au grand jour non son secret, mais justement l’absenc
3 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
3 ent à perdre toute expression, regard absolu de l’ angoisse . Si l’un s’écarte à ce moment, les voici vacillants comme hors d’eux-
4 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
4 où la joie de détruire devient douleur, et dans l’ angoisse d’une puissance anéantie par son succès, que Nietzsche a rencontré so
5 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
5 s savoir pourquoi… Ce que je n’ose pas savoir est angoisse . Angoisse est le nom du secret que je sers sans oser le servir, parce
6 ourquoi… Ce que je n’ose pas savoir est angoisse. Angoisse est le nom du secret que je sers sans oser le servir, parce que je sa
6 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
7 instinctif l’enthousiasme de la grandeur, et son angoisse . Ah ! le compère assez malin pour dénouer ce chef-d’œuvre brut, par J
7 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
8 rait aussi que son regard, dès qu’il l’élève avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. Étrange lieu que ce coin du Tartar
8 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
9 n’ayons jamais pensé à notre mort avec une rapide angoisse — nous y pensons bien plus que nous n’osons le croire, sans doute ne
10 avec des yeux bien dessillés. C’est assez pour l’ angoisse et trop peu pour agir. Ainsi le grand décret de crise qui sévit au cœ