1 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
1 finit en somme qu’une méthode du discours. La fin dernière d’un discours n’est autre que la cohérence, la vérité elle-même s’y t
2 par la vision totale, par la révélation des fins dernières . On ne peut connaître les parties que par le tout, et non l’inverse.
3 n de les définir autrement qu’en vue de cette fin dernière vers quoi l’on tend. Le langage cartésien ou scientifique cherche à r
4 ris en soi et dans leur lettre, mais dont le sens dernier ne puisse être aperçu sous un angle de vision quelconque. Je dis que
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 s les ruses de Peter échouent devant cet obstacle dernier . Il a beau n’aller que de nuit aux rendez-vous avec la belle Mina. Le
3 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
6 eures du matin. Mais il faut que je la revoie une dernière fois. Je prendrai donc l’express du soir. J’arrive à Berlin le lendem
4 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
7 nier la fin des temps, le règlement, le jugement dernier — d’où l’idée du Retour éternel. Comme je parlais de ces choses à une
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 t de sa liberté, s’il voyait à l’œil nu leur sens dernier et l’enjeu véritable de ses choix, à qui reviendrait l’empire de ce m
9 emière demande d’informer. Non pas encore l’Arrêt dernier , mais déjà ce ralentissement qui nous fait accéder à la conscience ob
10 nt la coutume de la Cour. Bien peu soutinrent les derniers soleils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa per
6 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
11 e donner la clé de son mystère. Lors d’une de nos dernières séances, je me suis risqué à une allusion courtoise à sa légende bien