1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 Willkie semblait mener. On vendait à la criée les derniers stocks de boutons au nom des candidats. À 10 heures, les chapeaux com
2 races, les plaisanteries cordiales adressées aux derniers porteurs de boutons Willkie, — ce sentiment, cette sensation physique
3 ique. En attendant le résultat de la troisième et dernière manche, c’est-à-dire l’issue de la lutte que soutient l’Empire britan
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 s cet héritage inexcusable de la presse du siècle dernier , que nous appelons le roman-feuilleton, et que je vois encore, en ple
5 te de papier, encombrer le tiers de la seconde et dernière page de plusieurs journaux parisiens. Un censeur astucieux, possédé p
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
6  : ce serait être esclave de ses machines. Si ces dernières se multiplient dans une cuisine et un sous-sol américain, c’est juste
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
7 e ? Applique-t-elle la recette des succès de l’an dernier  ? Est-elle de taille à les déclasser d’un seul coup ? Enfin, sera-t-e
8 ançais, à New York, qui se rendaient ridicules au dernier point en affectant l’allure qu’on attribue chez eux à l’homme d’affai
9 s, attention. Mais dans trois de leurs États, les dernières élections se sont passées presque sans coups de fusil. Peut-être atte