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Willkie semblait mener. On vendait à la criée les
derniers
stocks de boutons au nom des candidats. À 10 heures, les chapeaux com
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races, les plaisanteries cordiales adressées aux
derniers
porteurs de boutons Willkie, — ce sentiment, cette sensation physique
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ique. En attendant le résultat de la troisième et
dernière
manche, c’est-à-dire l’issue de la lutte que soutient l’Empire britan
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s cet héritage inexcusable de la presse du siècle
dernier
, que nous appelons le roman-feuilleton, et que je vois encore, en ple
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te de papier, encombrer le tiers de la seconde et
dernière
page de plusieurs journaux parisiens. Un censeur astucieux, possédé p
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: ce serait être esclave de ses machines. Si ces
dernières
se multiplient dans une cuisine et un sous-sol américain, c’est juste
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e ? Applique-t-elle la recette des succès de l’an
dernier
? Est-elle de taille à les déclasser d’un seul coup ? Enfin, sera-t-e
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ançais, à New York, qui se rendaient ridicules au
dernier
point en affectant l’allure qu’on attribue chez eux à l’homme d’affai
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s, attention. Mais dans trois de leurs États, les
dernières
élections se sont passées presque sans coups de fusil. Peut-être atte