1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 1932, je n’ai cessé d’appeler l’union de l’Europe au nom de la doctrine fédéraliste. Je trouvais cette doctrine impliquée dans un
2 aliénés. Si l’on se bat en Europe demain, ce sera au nom de la démocratie contre le peuple, au nom du peuple contre les libertés,
3 , au nom du peuple contre les libertés, j’entends au nom de la dictature du prolétariat contre la liberté du capital, c’est-à-dir
4 us et non seulement pour nous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel nationalisme européen qu’il nous faut défendre l’Euro
5 pelle un « individualisme ». C’est, au contraire, au nom de la personne, de prêcher l’engagement personnel, libre, efficace et co
6 ance. Car en Russie l’État justifie ces scandales au nom de la dialectique marxiste : c’est ainsi que Staline a justifié la liqui
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7 par force ce qu’on a combattu dans la faiblesse, au nom de rien. Mais où est la grande affirmation centrale, le grand but de cet
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8 ialisme, une réaction collectiviste se déclenche, au nom de la justice ou de l’ordre social. Elle donne naissance à des régimes u
9 diquent principalement. Chacun peut donc y aller au nom de ses principes, à la seule condition de les prendre au sérieux. Plus t
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10 narchie, une réaction collectiviste se déclenche, au nom de la justice ou de l’ordre social. Elle donne naissance à des régimes u
11 ertains voudraient que cette action fût proclamée au nom de la démocratie. Mais il n’est pas de terme dont notre époque ait fait