1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 ou au contraire la vision d’une Europe qui aurait cédé aux tentations d’un bonheur étranger à son génie, une Europe américan
2 qu’elle redoutait. Et, tandis que les défaitistes cédaient aux tentations d’une fausse symétrie entre l’URSS et les USA, et s’en
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3 ou méchants, mais leur fonction leur interdit de céder un pouce ; et dans l’état présent de l’opinion et des rivalités des p
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4 t de ses droits et de sa liberté, devenue facile, cède à la tentation de l’anarchie ou à celle de l’impérialisme, une réacti
5 même et au génie formateur de l’Europe, lorsqu’il cède à la tentation de supprimer l’un des termes du conflit, soit qu’il es
6 crates dans leur majorité, tous ces peuples aient cédé l’un après l’autre à la loi d’une minorité ? Je réponds qu’en réalité
7 ’une minorité ? Je réponds qu’en réalité, ils ont cédé à l’attraction d’une grande puissance. L’autre jour, M. Pekkala, Prem
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8 nt de ses droits et de sa liberté devenue facile, cède à la tentation de l’anarchie, une réaction collectiviste se déclenche
9 -même et au génie créateur de l’Europe, lorsqu’il cède à la tentation de supprimer l’un des termes du conflit, soit qu’il es