1
es. Or il n’en va pas autrement sur le plan de la
communauté
et de la politique des nations. Ici, l’équilibre vivant doit s’établi
2
é, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la
communauté
. Car, dans ce cas, nous serions restés chez nous. Mais nous ne serion
3
olitique, totalement absorbé par le service de la
communauté
. Car alors nous serions de l’autre côté du rideau de fer, en esprit t
4
ue, d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis de la
communauté
au sein de laquelle sa vocation s’exerce. Aux individualistes nous ra
5
ports avec Dieu, avec le monde, avec l’État et la
communauté
. Dans les combinaisons, variées à l’infini, qu’il lui est possible d’
6
ports avec Dieu, avec le monde, avec l’État et la
communauté
. Toute notre histoire illustre ce débat, qui se livre en chacun de no
7
s immédiates : 1. D’entretenir le sentiment de la
communauté
européenne par le moyen d’informations et d’initiatives, dans le doma
8
r qui incombe aux gouvernements de laisser chaque
communauté
donner satisfaction à ce droit, indépendamment de toute pression, de
9
conditions du xxe siècle, qui sont celles de la
communauté
, afin d’ouvrir au monde la voie qu’il cherche, la voie des libertés o